9 hadiths sur l’interaction hommes-femmes dans la mosquée

L’un des problèmes actuels dans les mosquées qui donnent accès aux femmes est la sensibilité excessive envers, et parfois l’interdiction stricte, des interactions ordinaires entre hommes et femmes. Fait intéressant, ces hommes et ces femmes interagissent normalement avec d’autres hommes et femmes de la communauté extérieure dans tous les domaines de la vie sociale et professionnelle.

En se référant à la Sunnah, nous constatons qu’une telle interaction entre hommes et femmes dans les mosquées existait du vivant du Prophète ; c’était une interaction normale qui impliquait diverses affaires religieuses et sociales.

Certes, certaines violations ont été signalées dans la Sunna, mais elles étaient limitées et considérées comme des cas individuels qui ne nécessitaient aucun changement radical dans les règles d’interaction originales, ni dans la disposition des rangées dans la prière, ni même dans la conception architecturale de la mosquée elle-même. .

Les hadiths suivants ne sont que quelques exemples de la façon dont les hommes et les femmes ont interagi dans la mosquée, en présence du Prophète (paix et bénédictions sur lui), comme raconté par des compagnons masculins et féminins. Ils montrent ce que nous pouvons appeler une interaction « normale » entre les hommes et les femmes dans la mosquée, et ils sont suffisamment clairs pour ne nécessiter aucune élaboration supplémentaire.

Ce que dit la Sunna

1. Asma’ (qu’Allah l’agrée) a raconté :

Le Messager d’Allah (paix et bénédictions sur lui) s’est levé parmi nous et nous a prêché, mentionnant l’épreuve qu’un mort subit dans la tombe, et là-dessus les gens ont crié d’une manière qui m’a empêché de percevoir les derniers mots du Messager d’Allah. Quand ils se sont calmés, j’ai demandé à un homme près de moi: « Qu’Allah vous bénisse, qu’a dit le Messager (paix et bénédictions sur lui) à la fin de son sermon? » et il répondit : « Il m’a été révélé que vous seriez testés dans vos tombes d’une manière presque similaire à celle du procès d’Ad-Dajjal.« [1]

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